Qui a bien pu faire croire au genre humain que la guerre était nécessaire pour être en paix ?
Et si, au lieu d'être toujours convaincu/e que l'autre est notre bourreau, nous choisissions de reconnaître en lui toutes nos propres faiblesses, nos propres blessures. Pardonnons à l'autre ses mouvements d'humeur, son agressivité, ses débordements... pour mieux pouvoir nous pardonner à nous-mêmes nos propres imperfections. Celles que nous haïssons en-nous mêmes, au risque de nous blesser tout/e seul/e.
Nous sommes tous UN, nous sommes toutes et tous lié/e/s. Lorsque je choisis de blesser l'autre, c'est moi-même que je blesse. Lorsque je choisis de l'aimer, c'est de mon cœur dont je prends soin.
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